Extermination des opposants internes

Dans ce roman, les différents opposants internes qui s'opposent au parti sont exterminés, notamment par des pendaisons sur la place publique à titre d'exemple : " c’était une belle pendaison dit Syme qui revoyait le spectacle."
Pour ceci, les membres du parti sont prêts à tout : "quelques agents de la police de la pensée circulaient constamment parmi eux, répandaient de fausses rumeurs, notaient et éliminaient les quelques individus qui étaient susceptibles de devenir dangereux". Différents moyens sont à disposition afin d'identifier les opposants comme la police de la pensée et ses espions, dont Syme à sûrement eu à faire car il disparaîtra dans la seconde partie du roman : " Syme avait disparu."; "Syme avait cessé d’exister, il n’avait jamais existé." Pourtant, c'était un fervent membre du parti, mais il disparu du jour au lendemain, personne ne saura jamais ce qui lui est arrivé.

Eric Arthur Blair s'inspire largement des régimes totalitaires staliniens et hitlériens pour écrire son roman, cette extermination des opposants peut se référer à l'extermination des opposants à Staline lors des Grandes Purges. Ou encore au régime extrémistes de Daesh en Syrie: les personnes non musulmanes sont exécutées.